vendredi 29 novembre 2013
mardi 26 novembre 2013
Le financement participatif : une méthode alternative pour financer vos projets
À titre d’entrepreneurs, vous êtes conscients de l’importance
de votre réseau social dans le démarrage d’une entreprise. Il est à la fois une
source de soutien émotionnel, d’informations pertinentes, d’opportunités
d’affaires et de financement.
Au cours des dernières années, le financement par les pairs,
appelé financement participatif, s’est formalisé grâce à la naissance de
plateformes web telles que Kickstarter.
Ces plateformes permettent aux entrepreneurs de mettre en ligne leurs projets
pour ensuite solliciter des personnes à participer financièrement à leur
réussite. Selon la plateforme choisie, les gens peuvent contribuer aux projets par
des dons, des prêts ou par un système de récompense.
Deux plateformes
québécoises pour votre financement
Il existe une multitude de sites pouvant vous aider dans
votre financement que vous pouvez choisir selon leurs différentes règles de
fonctionnement. Il existe deux plateformes
québécoises de contribution en échange de récompenses soit Haricot et Écloid.
Ce type de financement est très utilisé dans le milieu artistique et pour des
projets de types scolaires. Ce qui n’empêche pas le financement d'un projet d’affaires
plus ambitieux. Au Québec, les projets
financés tournent autour de 10 000 $ alors qu’aux États-Unis ceux-ci
peuvent atteindre quelques millions de dollars!
Par contre, le financement participatif, aussi appelé crowdfunding, n’est pas miraculeux et
demande beaucoup d’efforts pour arriver au résultat escompté. La présentation
du projet doit être impeccable, dynamique et professionnelle. Il est important
de bien utiliser les médias sociaux et de planifier adéquatement vos stratégies
de communication afin de profiter au maximum du temps qui vous est alloué. De
plus, il est nécessaire de tenir au courant les contributeurs sur l’avancement
du projet pour qu’ils se sentent rassurés de vous confier leur argent. Finalement, il est important de bien vous
renseigner sur les règles d’utilisation des différentes plateformes. Par
exemple, vous devrez dès le départ établir un objectif de financement. Sur certains
sites, si vous n’atteignez pas l’objectif dans les temps alloués, vos contributeurs
seront remboursés et vous ne recevrez rien, alors que d’autres sites vous
permettront de garder la somme amassée. De
plus, vous aurez à remettre un pourcentage de votre objectif en frais
d’administration qui peut varier entre 5 à 15 %. Soyez donc attentifs avant de
vous inscrire.
vendredi 22 novembre 2013
lundi 18 novembre 2013
Passeport vers l’entrepreneuriat : deuxième année!
C’est avec grande fierté que nous lançons notre deuxième campagne de visibilité sur les entrepreneurs locaux du quartier Mercier intitulée Passeport vers l’entrepreneuriat. Cette campagne a pour but de vous faire connaître des modèles entrepreneuriaux de persévérance et de dynamisme afin qu’ils puissent vous servir d’inspiration.
Nous vous présentons donc notre premier entrepreneur vedette, Randy
Hernandez. Il est un exemple parfait de ce que le travail acharné et une
passion dévorante peuvent permettre de
réussir. Après avoir travaillé plusieurs années dans la restauration, Randy se
sent las et souhaite trouver un milieu
de travail qui lui permettra d’exprimer davantage sa créativité. Un membre de sa famille lui offrant de
cuisiner un repas à domicile pour une fête, il profite de cette expérience
bénévole pour créer sa future entreprise, Rand Y, chef cuisinier privé. Il accumule ainsi les petits contrats jusqu’à
sa rencontre avec David Primeau qui devient son mentor. Entrepreneur lui aussi,
David l’aide à développer son projet et à trouver des contrats. Randy avoue
d’ailleurs qu’il ne faut pas avoir peur de
demander de l’aide et d’aller chercher les conseils de professionnels
pour mettre en place son projet.
jeudi 14 novembre 2013
lundi 11 novembre 2013
L’entrepreneuriat, ça passe par l’innovation
Nous vous présentons Véronique Lecours, une jeune femme de 28 ans, mère
de trois enfants en bas âge et propriétaire de
deux entreprises : Sug’art, une entreprise de biscuits personnalisés qui
propose de magnifiques et délicieux biscuits pour toutes les occasions en plus
d’offrir des cours de confection et Crème et cassonade, une boutique cadeau sur le thème
de la pâtisserie et des sucreries.

Notre entrepreneur vedette de Mercier,
malgré des études collégiales en architecture et une Attestation
d’études collégiales en 3D pour les projets domiciliaires, décide de rester à
la maison pour s’occuper de ses enfants.
Pour souligner leur anniversaire, elle leur confectionne des biscuits
originaux. En 2007, elle décide de
photographier ses œuvres et de les mettre sur les réseaux sociaux pour partager
sa passion. « Un jour, j’ai commencé à recevoir des commandes. En apprenant ça,
ma sœur m’a traînée de force à la Corporation
de développement de l’Est (CDEST) pour que je m’organise »,
se rappelle Véronique en riant.

En 2009, elle enregistre son entreprise et, en 2010, elle participe à
un programme qui lui garantit une rémunération pendant sa première année de démarrage.
Cela lui permet de rédiger son plan d’affaires. « Malgré le fait que les choses
changent et évoluent rapidement, avoir pris une année pour réfléchir à la façon
de bien démarrer mon entreprise me rend plus solide et me permet de mieux
structurer mes nouveaux projets », affirme la jeune entrepreneure.
Le soutien de ses pairs
Véronique Lecours fait partie de « Mamentrepreneures
», un regroupement de mères qui possèdent une entreprise ou qui sont travailleuses
autonomes. « Si je n’avais pas eu ce réseau, je n’aurais pas tenu le coup.
Nous sommes devenues des amies, nous nous soutenons entre nous, nous nous
encourageons, nous écoutons et des alliances naissent à travers ça. C’est
merveilleux. »
Mentionnons aussi que Sug’Art développe des impressions
comestibles de plusieurs formats différents et que l’entreprise est une des
seules au Québec à offrir l’achat de feuilles comestibles d’un format de 11 X
17. « J’ai des clients jusqu’en Colombie-Britannique grâce à ce produit »,
précise fièrement Véronique Lecours.
Grâce au site de sociofinancement Haricot.ca, elle ouvre en novembre
2012 avec l’aide d’une amie, une boutique en ligne où elles vendent des produits
d’artisans reliés au thème du sucre.
Où se voit cette entrepreneure dynamique aux mille idées dans le futur?
« Ma fille a commencé à dire qu’elle voulait être propriétaire d’une
pâtisserie. Ce que l’avenir me réserve? Jamais je n’aurais cru devenir entrepreneure
et aujourd’hui, non seulement j’ai une entreprise, mais ma fille en veut une
aussi. Tout ce que je souhaite, c’est que mon entreprise continue d’évoluer et
que mes enfants continuent de rêver », conclut Véronique Lecours.
jeudi 7 novembre 2013
lundi 4 novembre 2013
Faire face à la croissance de son entreprise
Nous vous présentons le parcours peu commun de Dominique Blais,
propriétaire de Marseille
Musique. Cette entreprise offre des cours de musique avec un
choix de 14 instruments, des cours de gestion d’entreprise culturelle, des
sessions d’enregistrement en studio, la chance de performer sur des scènes
renommées et le camp MusiStar, un camp musical de jour pour les jeunes de 7 à
18 ans.


C’est à l’âge de 13 ans que Dominique fait sa première expérience
entrepreneuriale. Membre d’un groupe de musique, il reçoit une demande de son
école afin de participer à un évènement regroupant le corps professoral et les
étudiants. Fier, il demande à être payé. « Ce n’est pas parce qu’on a
du fun, qu’il ne faut pas être payé », se dit-il ce jour-là. Il venait de
conclure son premier contrat. Par la suite, le groupe se produit lors de
mariages, d’assemblées de Chevaliers de Colomb et de festivals. À 16 ans, il
ouvre, au nom du groupe, son premier compte commercial.
Parallèlement aux activités du groupe et en plus de mener ses études de
front, il commence à enseigner la musique et développe un réseau de contacts de
plus en plus grand. À un tel point qu’un jour, un professeur s’exclame :
« Dominique, tu as plus de contrats et d’élèves que j’en ai moi-même et
ton salaire est plus élevé que le mien ! » Cette affirmation résonne dans
la tête du jeune garçon qui décide, quelques semaines plus tard, de se
consacrer à ses activités musicales.
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